« The Joshua Tree», c’est certes le nom du 5ème album de U2, mais c’est surtout le nom de l’arbre qu’on retrouve un peu partout dans le parc national de Joshua Tree à qui il a donné son nom.

Nous avons découvert le parc l’année passée pour y passer le cap de l’an 2018 puis nous y sommes retournés au mois d’août au retour d’un road trip. 

Le parc se situe dans le sud de la Californie à la rencontre du désert du Colorado et de Mojave. 

La première fois, nous avions fait une halte par le « Big Morongo Canyon Preserve » dont la flore et la faune sont très riches. Cerise sur le gâteau, c’est gratuit! Les balades sont courtes et agréables. Ça aurait été dommage de ne pas s’y arrêter.

Nous avons donc découvert Joshua Tree fin décembre. Pour la minute « culture-confiture », l’arbre de Josué (Yucca Brevifolia) doit son nom à un groupe de Mormons: sa forme rappelant Josué, bras tendu montrant la terre promise (avec un peu, beaucoup d’imagination, pourquoi pas ;-)!!!). 

En pleine journée, la chaleur y était intense et l’air (désert oblige) très sec. Mais à cette période de l’année, il est tout à fait possible de faire quelques randonnées. J’avoue avoir eu quelques frayeurs en voyant les trous dans le sable. J’avais peur de voir surgir un serpent à sonnette ou une énorme tarentule. Finalement, nous n’avons vu que des lièvres, ouf! Le soir par contre, l’air se rafraîchit. Mamie Laura avait bien besoin de sa petite laine.

Notre vieille voiture a quand même meilleure mine dans le désert ;)!

Personnellement, nous avons trouvé que le parc valait le coup d’œil. Par contre, la seconde fois, nous avons fait le trajet depuis Vegas et nous avions  traversé le désert de Mojave avant. L’effet « waw » était du coup un peu moins présent surtout pour ceux qui découvraient le parc pour la première fois. En ce qui me concerne, j’ai néanmoins apprécié cette deuxième visite. En passant par une autre entrée, nous avons découvert sur la route plein de maisons abandonnées dignes de films d’horreur hollywoodiens, des trains de marchandises tellement grands qu’il est impossible de les photographier en entier. Surtout, nous y sommes allés en fin de journée. La luminosité était complètement différente et l’atmosphère également. Un moment suspendu…